Paris : le bon moment pour investir !

09 mars 2016

​Paris, le 9 mars 2016 - Pour la troisième année, EY et JLL publient « Why invest in Paris ? », leur guide de référence à destination des investisseurs étrangers qui souhaitent s’implanter sur le marché de l’immobilier en France.

« Le marché immobilier parisien offre aux investisseurs des fondamentaux solides qui leur permettent d’envisager des acquisitions long terme : transparence, maturité, liquidité. Gardons à l’esprit qu’avec ses 53 millions de m²,  l’Ile-de-France est le 1er parc immobilier d’Europe et le troisième au niveau mondial après ceux de Tokyo et New York. L’activité locative y est très forte, avec une demande  placée deux fois plus importante qu’à Londres. Pour ce qui est des montants investis, Paris n’est pas en reste et garde, depuis de nombreuses années, la première marche du podium des villes d’Europe continentale, avec environ 18 milliards d’euros en 2014 et 2015 » explique Stephan von Barczy, Directeur du département Investissement de JLL.

Les investissements lourds prévus dans le cadre du Grand Paris vont générer de nouvelles opportunités d’investissement. Les infrastructures de transports, déjà très denses, puisqu’elles arrivent en seconde position derrière Singapour et loin devant Londres, vont s’en trouver renforcées.

Enfin Paris et sa région attirent les entreprises ! Si l’on s’appuie sur le classement du Global Fortune 500, l’Ile-de-France compte plus de grandes entreprises que l’Allemagne ou le Royaume uni. En effet, plus de 31 sociétés recensées dans ce classement sont françaises et 29 d’entre elles ont choisi plus spécifiquement la région parisienne pour y installer leur siège.

Mais au-delà de tous ces fondamentaux, deux éléments font de 2016 l’année idéale pour investir à Paris :


- Un potentiel de création de valeur élevé. En effet, sur le marché francilien les loyers sont encore en bas de cycle quand à Londres ils ont déjà enclenché leur hausse. Les taux de rendement prime comparables sur les 2 marchés font donc de Paris une meilleure affaire cette année, avec un potentiel de plus-value plus intéressant ;

- Une prime de risque pour l’immobilier plus attractive qu’à Londres. En effet, le taux prime de 3,5%, équivalent sur les 2 marchés, est à comparer à une OAT de 0,50% en France quand son équivalent londonien avoisine les 1,5%.

D’un point de vue juridique, la France connaît des évolutions communes à la plupart des pays européens et de l’OCDE. En dépit du caractère limité des modifications apportées par les lois de finances de fin d’année, l’environnement fiscal des acteurs du secteur immobilier ne reste pas inchangé. Les coûts de transaction pour les ventes immobilières en Ile de France sont majorés. Au plan international, on relève un renforcement du contrôle exercé par l’administration fiscale et les juridictions françaises sur les conditions dans lesquelles les non-résidents peuvent se prévaloir des avantages prévus par les conventions fiscales conclues par la France. Différentes actions proposées par l’OCDE dans le cadre du Projet BEPS accentuent encore la nécessité pour les investisseurs de prendre les dispositions nécessaires. Malgré ces évolutions, la France conserve un cadre attractif pour l’investissement immobilier, incluant des règles favorables au financement par l’emprunt et des régimes d’exonération pérennes pour les structures d’investissement immobilier cotées ou agréées par l’AMF.

« Nous sommes heureux d'annoncer la publication de la troisième édition de notre guide 2016 « Why invest in Paris? », un guide de référence conçu pour les nouveaux investisseurs sur le marché parisien. Ce document dresse un état des lieux du marché immobilier de Paris et sa région avant d’analyser plus en détail les implications juridiques et fiscales de l'investissement immobilier en France. Le Grand Paris est un projet très ambitieux pour le secteur immobilier. Le développement des infrastructures permettra de dynamiser le hub parisien. Ce projet montre que le marché parisien a encore un véritable avenir pour les investisseurs internationaux.», ajoute Jean-Roch Varon Associé EY responsable du secteur Immobilier France.